Joe Strummer, leader du groupe Clash, n’aurait pas pu mieux dire. Et, comme d’habitude lorsqu’on parle de changement, on fait souvent du surplace avant d’aller de l’avant. La lecture du dernier rapport du GIEC[1] nous annonce l’imminence renouvelée d’une catastrophe planétaire et, en même temps, nous présente une opportunité de s’engager sur l’action! Mais que signifie l’action climatique en cette fin d’été 2021 alors que le variant Delta de la Covid bat son plein, avec des pics de température dans différentes régions du monde qui battent tous les records, avec des inondations catastrophiques et des incendies dévastateurs un peu partout sur la planète; tout cela couplé à une quête individualiste de bonheur et de liberté!
Dans ce contexte comment maximiser l’utilisation d’outils économiques aptes à provoquer un changement d’attitude face aux défis climatiques? Au plan géopolitique comment mettre l’emphase sur un changement de la demande[2] (réduire la consommation et augmenter le consentement dans le G20[3]) et stimuler l’offre, sur fond de justice sociale, dans le reste des pays, tout en considérant qu’il y a plusieurs équations, plusieurs inconnues et quelques variables! Sur un plan local, tel qu’au Canada, comment s’y engager sur la base des principes d’économie circulaire, d’économie de partage et d’actions communautaires tel que décrit au blogue du 7 août 2021 de Gary Cooper de Chicago[4], le tout soutenu par quelques principes élémentaires de mesure et de vérification (MRV[5]).
Bref, comment s’engagez sereinement et consciemment? The Future is now! [6]